Professionnels de l'entreprise, artisans, commerçants, professionnels du tourisme... vous savez que la première impression que l'on a d'autrui est importante.

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Dans une société où rien n'est acquis, où tout va très vite, rien ne doit être laissé au hasard.

l'image véhiculée par vos salariés contribue à l'image globale de votre entreprise. Pour être compétitif vos collaborateurs doivent être au mieux de leur forme mais il arrive que des facteurs internes ou externes viennent bouleverser l'équilibre tant souhaité.

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Le mal-être psychologique au travail

 

 Depuis quelques années, les questions du bien-être au travail, de la gestion du stress, du bonheur en entreprise sont devenues des problématiques fondamentales à la fois pour les salariés, leur hiérarchie et le management, les ressources humaines mais aussi les acteurs publics et la société en général. On parle de plus en plus d'épanouissement au travail, des questions liées au mal-être psychologique, au stress, qui porte plusieurs noms selon les formes qu'il prend : burn-out*, bore-out* ou encore brown-out*.

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*burn-out : résultat d'une accumulation de stress

*bore-out  : caractérisé par le désintérêt ou l'ennui dans le travail

*brown-out : perte de motivation au travail due à l'absurdité des tâches confiées, un travail dénué de sens.

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Plusieurs raisons expliquent le développement du phénomène de mal-être au travail :

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- Nous sommes passés à une économie beaucoup plus incertaine. La crise économique et financière, la montée du chômage, la précarisation du travail... D'après une étude "Qualité de vie et Bien-être de l'INSEE et selon une étude DARES 24% des salariés s'inquiètent de perdre leur travail.

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- La transition vers des métiers du tertiaire. Aujourd'hui on parle moins d'ergonomie, de pénibilité physique et de sécurité au travail mais plus de bonheur, de bien-être et de stress.

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- Le monde du travail se transforme et d'une certaine façon, la pression sur les salariés augmente. On cherche la performance et l'efficience, il faut des indicateurs, un contrôle, un regard de la hiérarchie, facilité par la généralisation des outils numériques.

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- D'après la DARES, un employé sur deux travaille dans l'urgence, un tiers considèrent leurs relations de travail comme étant des sources de tension. 64% des salariés (74% des cadres) déclarent devoir s'interrompre dans leur travail pour gérer des imprévus.   

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Le mal-être psychologique coûte très cher !

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Le coût social et économique du mal-être au travail

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En France, d'après l'INRS, le stress et le mal-être psychologique représenteraient près de 1,6 milliards d'euros de dépense pour la sécurité sociale, soit près d'un cinquième de toutes les dépenses de la branche "Accidents du Travail et Maladies Professionnelles" de la sécu !

Absentéisme, baisse de la productivité, baisse de l'attention et de la motivation... tout cela implique des conséquences importantes pour les entreprises en terme de production, de coût...

 

Il est observé que peu d'entreprises ont réellement mis en place une vraie stratégie de bien-être permettant à leurs salariés de décompresser. Il ne s'agit pas juste d'installer un babyfoot dans les locaux ou permettre une activité physique ou de détente au sein de l'entreprise: agir sur le stress ou le mal-être c'est avant tout dialoguer avec eux et être à l'écoute de leurs difficultés.

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Une SOLUTION existe !!!

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Mon travail consiste à intervenir au sein des entreprises et recevoir les salariés qui le souhaitent sous forme de rendez-vous. Une écoute attentive, anonyme où chacun en échangeant peut trouver une piste à son problème. Le but de cette écoute est d'éviter que le salarié se sente isolé, seul face à son problème. Mon rôle de coach est de booster la personne pour l'aider à comprendre et à appréhender une situation nouvelle. Je vais l'aider à trouver les ressources et l'énergie qui sont en elle pour avancer et retrouver un équilibre. 

Une fois la problématique cernée et les objectifs définis, nous nous "attaquons"  aux solutions.

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Responsable d'un Pôle Santé au sein d'une structure d'Insertion professionnelle, j'ai beaucoup travaillé sur la problématique du suicide. J'ai été formée par  l'unité psychiatrique  d'Eure et Loir pour être "Acteur de première ligne" sur le repérage précoce de la crise. Je suis intervenue plusieurs fois comme conférencière sur les Journées départementales de la "lutte et la prévention du suicide".

J'ai également suivi une formation par la CPAM  " Prévention des risques aux travail" dans le cadre de la réforme de la médecine du travail en 2011.

Le monde professionnel est un milieu que j'ai côtoyé pendant de nombreuses années puisque j'étais chargée, lors de grands recrutements de préparer les demandeurs d'emploi notamment pour les entretiens d'embauche. Je comprends d'autant mieux ce qu'attendent les responsables d'entreprises y compris les risques qu'ils prennent lors d'un recrutement.

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